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JO 2024 : la construction des ouvrages olympiques a coûté... moins cher que prévu !

Calado/Adobe Stock

Vous qui êtes dans les starting-blocks pour assister au match de hand féminin le 28 juillet, lors des JO de Paris 2024, savez-vous que vous assisterez aux premiers Jeux de l'Histoire dont les infrastructures ont été livrées dans le budget imparti ? Et même mieux, puisque la Solideo, la société chargée de construire les ouvrages des JO de Paris 2024, annonce, ce mercredi 3 juillet une «baisse de sa maquette financière», de 39 millions d'euros. Concrètement, la Solideo n'a pas eu besoin du 1,721 milliard d'euros de financements publics initialement prévus pour bâtir le Village des athlètes, le centre aquatique et autres ouvrages. La somme de 1,682 milliard d'euros de subventions publiques lui aura suffi. Ces 39 millions d'euros non utilisés, la Solideo les restitue à qui de droit, à savoir l'Etat et les collectivités locales parties prenantes des JO de Paris 2024.

Comment diable la Solideo s'y est-elle prise pour ne pas faire déraper le budget de ce chantier titanesque, comme nombre d'observateurs s'en inquiétaient régulièrement ? La société invoque modestement «une bonne gestion au quotidien des aléas de chantier». Un euphémisme car elle a dû composer avec la crise sanitaire, qui a généré des coûts supplémentaires en équipements de protection sur tous les chantiers de France et de Navarre, puis avec le déclenchement de la guerre en Ukraine, en février 2022, avec pour corollaire une flambée des prix des matières premières et de l'énergie. «C'est le résultat d’un travail mené depuis (...)

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