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Cette jeune femme veut briser le tabou sur les familles concernées par le handicap

Léa Hirschfeld souhaite, avec son podcast « Décalés », mettre en avant le quotidien de ces familles. Un quotidien qu’elle a elle-même connu avec son grand frère Anton, atteint d’un trouble neurologique.

« C’était un peu ma honte, tout en étant ma plus grande force. » Léa Hirschfeld, 27 ans, a parfois mal vécu sa jeunesse aux côtés de son grand frère Anton, atteint d’un trouble neurologique. Très vite, elle se heurte à l’incompréhension de la société et de l’école sur la maladie de son frère. Cette incompréhension va marquer la jeune femme et l'éloignera d'Anton à l’adolescence. « En solo, j’étais hyper fière de lui, mais dès qu’il s’agissait d’être confrontés à des événements extérieurs, je ne voulais pas », raconte-t-elle à notre partenaire Brut., qui a retracé son parcours.

Lire aussi >> Grandir au près d'un frère polyhandicapé : « On ne se sent pas légitime à souffrir »

« Si j’avais pu en parler […] je n’aurais pas été aussi fâchée »

Aujourd’hui, réconciliée avec cet aspect de sa vie, Léa Hirschfeld a créé un podcast, « Décalés », pour mettre en lumière le quotidien des familles concernées par le handicap d’un de leur proche. « Je pense que si j’avais pu vivre ma relation avec mon frère en société, si j’avais pu en parler, si j’avais pu être fière de lui, s’il y avait eu des espaces de discussion, par exemple à l’école, et que j’avais pu l’exprimer là... Je n‘aurais pas été aussi fâchée », explique-t-elle, toujours à Brut. Elle aimerait que la société en finisse avec le tabou du handicap. « C’est des sujets très sensibles et il est très facile de...

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