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Une infirmière soupçonnée d'avoir eu recours à des surfacturations à hauteur de… 260.000 euros

Cette infirmière libérale était persuadée qu'elle ne se ferait pas prendre... La soignante de 34 ans a pourtant attiré l'attention de la caisse primaire d’assurance-maladie : elle aurait surfacturé plus de 260.000 euros, rapporte Ouest-France dans un article du mercredi 20 avril. La jeune femme, mère de quatre enfants, ne serait pas parvenue, une fois son diplôme en poche, à trouver des patients, explique le quotidien régional. Elle aurait alors trouvé une parade en commençant à demander à ses voisins, dans le Centre-Finistère en Bretagne, de quémander des ordonnances de soins à leurs médecins. Elle touchait alors directement leur règlement, et leur reversait ensuite la moitié de la somme.

Elle serait ensuite allée plus loin en ajoutant aux ordonnances des soins qu'elle ne réalisait pas mais qu'elle facturait. Au total, la somme de 260.000 euros aurait été atteinte. La trentenaire aurait reversée une partie de cet argent à ses parents et à son mari. Elle aurait avoué ces faits, précise Ouest France. Ce n'est pas la première fois qu'une infirmière est accusée de surfacturation ou d'arnaque à la sécurité sociale.

Le 4 novembre dernier, une infirmière libérale, avait été jugée pour avoir arnaqué plusieurs CPAM entre 2012 et 2016 pour un montant estimé à un million d’euros. Elle était soupçonnée de facturer deux fois certains actes ou d'être payée pour des actes inexistants sur des patients décédés. Même soupçon à l'égard de cette autre infirmière, en février 2021, qui aurait détourné (...)

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