Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    8 219,14
    +31,49 (+0,38 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    5 085,08
    +30,67 (+0,61 %)
     
  • Dow Jones

    39 512,84
    +125,08 (+0,32 %)
     
  • EUR/USD

    1,0772
    -0,0012 (-0,11 %)
     
  • Gold future

    2 366,90
    +26,60 (+1,14 %)
     
  • Bitcoin EUR

    56 488,58
    -2 035,53 (-3,48 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 259,29
    -98,72 (-7,27 %)
     
  • Pétrole WTI

    78,20
    -1,06 (-1,34 %)
     
  • DAX

    18 772,85
    +86,25 (+0,46 %)
     
  • FTSE 100

    8 433,76
    +52,41 (+0,63 %)
     
  • Nasdaq

    16 340,87
    -5,40 (-0,03 %)
     
  • S&P 500

    5 222,68
    +8,60 (+0,16 %)
     
  • Nikkei 225

    38 229,11
    +155,13 (+0,41 %)
     
  • HANG SENG

    18 963,68
    +425,87 (+2,30 %)
     
  • GBP/USD

    1,2525
    +0,0001 (+0,01 %)
     

Indonésie. La baie de Jakarta polluée par le paracétamol

Une étude menée par des océanographes indonésiens et britanniques a révélé des taux élevés de paracétamol dans les eaux de la baie de Jakarta. Une pollution qui aurait pour origine la consommation excessive de ce médicament par les habitants de la capitale de l’Indonésie, rapporte le grand quotidien national Kompas.

Le 16 septembre 2021, les 10 millions d’habitants de Jakarta pensaient enfin pouvoir respirer un peu plus sainement après la décision d’un tribunal de donner raison à l’action en justice citoyenne intentée contre la pollution de l’air de la capitale. Mais voilà qu’une nouvelle source de contamination les menace : le paracétamol, dont d’importantes concentrations ont été détectées dans les eaux de la baie de la capitale par le département d’océanographie de l’Agence nationale (indonésienne) de recherche et d’innovation (Brin), en collaboration avec l’université britannique de Brighton. Ils viennent de rendre leur rapport.

“Les résultats montrent que les échantillons prélevés dans les eaux d’Angke et d’Ancol [deux quartiers surpeuplés du littoral de Jakarta] contiennent les taux les plus élevés de paracétamol, soit respectivement 610 nanogrammes et 420 nanogrammes par litre”, rapporte Kompas.

À lire aussi: Animaux. En Indonésie, le dragon de Komodo est menacé, mais par qui ?

PUBLICITÉ

Selon les chercheurs de la Brin, ces résidus peuvent provenir de trois sources : les hôpitaux, l’industrie pharmaceutique et la population. C’est cette dernière hypothèse qui est mise en avant par l’océanographe Wulan Koagouw, coauteure de cette étude, lancée en 2017. En effet, contenu dans une variété de médicaments bon marché et accessibles sans ordonnance, le paracétamol est massivement consommé par les

[...] Lire la suite sur Courrier international

À lire aussi :