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Immobilier : les ventes chutent et la crise du logement est bien réelle

Pascale Gueret/Adobe Stock

Le notaires de France viennent de rendre public leur comptage des transactions au cours des douze derniers mois et leurs prévisions à court terme. Ils constatent, arrêtée avant la rentrée, une baisse du nombre des ventes de logements existants s’approchant des 17% en année glissante, laissant augurer une baisse effective à la fin de 2023 plus proche de 20%, sinon au-delà : le second semestre et le dernier quadrimestre plus encore ont marqué un ralentissement nettement plus fort. Au bout du compte, le notariat projette entre 850 000 et 900 000 opérations en 2024, à comparer au 1,2 million de 2022. En somme, comme beaucoup d’observateurs, ils considèrent que l’an prochain sera dégradé par rapport à l’exercice en cours. Et comme beaucoup d’exégètes de la communauté immobilière, ils analysent que 2022 avait été un millésime exceptionnel. Le président de Guy Hoquet, professionnel reconnu, a utilisé une expression encore plus claire : on était dans un marché de confort, et on revient à un marché de besoin.

A plus d’un titre, ce regard a de quoi sembler infondé. On pourrait d’abord le soupçonner, sans nécessairement de conscience de la part de ceux qui le portent, de vouloir justifier a posteriori une situation douloureuse pour en alléger la dureté. On peut surtout douter des deux postulats des tenants de la thèse du retour à la normale : la définition du besoin, présenté ici de la façon la plus rustique, et la logique qui conduirait à une transaction.

Le besoin est sous entendu comme (...)

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