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Un hôpital forcé de proposer des gardes à un prix faramineux pour recruter un anesthésiste

Depuis des mois, le personnel soignant avertit que l'hôpital manquera de bras cet été. C'est justement pour assurer la continuité de soins dans son établissement que l'hôpital de Cahors, dans le Lot, a dû sortir son carnet de chèques pour recruter un anesthésiste, bien au-delà du budget escompté, relate La Dépêche le mercredi 8 juin. Déjà en plan blanc, le centre hospitalier a dû se résoudre à payer des tarifs très élevés pour assurer les gardes d'un anesthésiste remplaçant. Ce dernier devrait être payé 3.000 euros la garde de vingt-quatre heures du week-end, et 1.500 euros celle réalisée la semaine.

Pour Pierre Nogrette, le directeur de l'hôpital interrogé par La Dépêche, ces "tarifs sont indécents". Ce dernier déplore "une forme de surenchère". L'établissement a dû revoir à la hausse les tarifs proposés car au bout d'un mois, la recherche d'un remplaçant restait vaine. Or l'absence d'anesthésiste risquait "d'impacter le service de chirurgie, les urgences, mais aussi la maternité", relate-t-il auprès de nos confrères. Car sans ce médecin, pas d'opération au bloc, de péridurale ou de césarienne, dans un département qui ne compte qu'une seule maternité : celle de cet hôpital.

La pénurie de soignants fait régulièrement la une de la presse, poussant les centres hospitaliers à recourir à de l'intérim, souvent plus cher, à décaler des opérations, voire à fermer des services. Les appels à agir rapidement se sont multipliés à l'approche de l'été. Philippe Juvin, le chef des urgences (...)

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