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Gaz russe : la France pourrait s'en passer "d'ici trois, quatre ans", estime le patron d'Engie

Alors que l'Union européenne est à la recherche d'alternatives pour réduire sa dépendance énergétique à la Russie depuis le début de la guerre en Ukraine, le président du géant français de l'énergie Engie, Jean-Pierre Clamadieu, a déclaré ce samedi 7 mai que la France pourrait être en mesure de se passer "à terme" du gaz russe. "À terme, oui. La question, c'est à quel terme", a-t-il déclaré au micro de France Inter, avant d'indiquer que la France était "probablement capable de réduire de manière très importante" sa dépendance au gaz russe d'ici "trois ou quatre ans".

Son acheminement, en effet, repose sur tout un réseau d'infrastructures (gazoducs, installations de liquéfaction, etc.) complexe à mettre en place, a indiqué M. Clamadieu. Prévenant fin mars que la France aurait besoin "à moyen terme ou long terme" du gaz russe, et renvoyant la décision aux gouvernements européens, le géant français de l'énergie a progressivement fait évoluer sa position sur la question.

"Si nous devions faire face à une interruption brutale, c'est un scénario qui est beaucoup plus difficile, et nécessitera des ajustements qui seront probablement eux aussi brutaux", prévient toutefois M. Clamadieu. Cherchant à diversifier ses approvisionnements, le groupe a signé début mai un contrat d'approvisionnement de gaz naturel liquéfié (GNL) sur 15 ans auprès de l'américain NextDecade, même si un report sur le GNL ne permettra pas d'obtenir "des quantités suffisantes pour remplacer" le gaz russe pour l'instant. (...)

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