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Fin du "quoiqu'il en coûte" en 2021? : Bruno Le Maire démine

Au lendemain des déclarations du ministre des Comptes publics sur une fin du "quoi qu'il en coûte" en 2021, Bruno Le Maire a promis un soutien "total" à l'économie "tant que la pandémie sera là".

Le ministre de l'Économie Bruno Le Maire a promis jeudi un soutien "total" à l'économie "tant que la pandémie sera là", au lendemain des déclarations de son collègue chargé du Budget sur une fin du "quoi qu'il en coûte" en 2021.

Évoquant sur LCI l'éventualité d'une "énième variante du virus qui apparaîtra(it) à l'été" et contrarierait le scénario espéré d'une maîtrise de la pandémie, Bruno Le Maire a concédé que "dans ce cas là, nous serons obligés de maintenir les mesures de soutien" à l'économie. "Que les choses soient bien claires pour tous nos compatriotes: tant que la pandémie sera là, et qu'elle nous obligera à prendre des mesures de restrictions sanitaires, il y aura un soutien de la part de l'État", a martelé le ministre de l'Économie.

Le ministre des Comptes publics a estimé que l'année 2021 devait marquer la fin de la politique du "quoi qu'il en coûte"

La veille, le ministre des Comptes publics Olivier Dussopt avait estimé que l'année 2021 devait marquer la fin de la politique du "quoi qu'il en coûte", c'est-à-dire la mobilisation de tous les moyens nécessaires face à la crise sanitaire. "Si 2021 marquera la fin de la crise et de la pandémie comme tout le monde l'espère, il faut aussi que 2021 marque la sortie du 'quoi qu'il en coûte'", avait-il affirmé aux Échos, reprenant l'expression du président de la République Emmanuel Macron au début de la crise.

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Pour faire face à l'épidémie, l'État a engagé 44,1 milliards de dépenses supplémentaires, dont 41,8 milliards de dépenses d'urgence, selon des chiffres de Bercy. Le déficit de l'État − hors périmètre des collectivités locales et de la sécurité sociale − s'est creusé de 85 milliards d'euros, passant de près de 93 milliards l'an dernier à 178,2 milliards d'euros.


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