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La fièvre hémorragique de Crimée-Congo débarque sur le sol français

La fièvre hémorragique de Crimée-Congo débarque sur le sol français

La fièvre hémorragique de Crimée-Congo (FHCC) est présente sur le territoire français. En effet, dès le 24 octobre 2023, Santé publique France (SPF) alertait sur l’arrivée dans l’Hexagone de ce virus chez des tiques. Que tout le monde se rassure, pour le moment, aucun humain n’a été touché, rapporte Le Progrès, le 24 juin 2024. Pour autant, il faut prêter une attention particulière à la FHCC. En effet, s’il est la plupart du temps asymptomatique, son taux de létalité est particulièrement élevé chez l’homme. SPF indique qu’il est de 40 %. La vigilance concerne avant tout le pourtour méditerranéen, l’Ardèche, la Drôme et la Corse.

Simon Bessis, médecin infectiologue et chercheur à l’Institut Pasteur, est revenu le 10 juin dernier sur les origines du nom de la fièvre hémorragique de Crimée-Congo dans un article de The Conversation : «C’est en 1944, lors de l’avancée de l’Armée rouge, que cet agent pathogène a été identifié pour la première fois, en Crimée (région ukrainienne annexée en 2014 par la Russie). En 1969, lors d’une épidémie au Congo, les scientifiques se sont aperçus que le virus incriminé était le même que celui de 1944.» Et de conclure : «L’association des deux noms a donné le terme de fièvre hémorragique Crimée-Congo.»

Ce virus se développe chez les tiques. Ces dernières se nourrissent sur des mammifères particulièrement grands. Si elles sont contaminées, leur «hôte» se retrouve alors également porteur de la fièvre hémorragique de Crimée-Congo. L’homme se retrouve donc (...)

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