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Entrepreneuriat : de Tokyo à la Côte d'Azur, la success story de Jennifer Court et son co-cooking

Entrepreneuriat : de Tokyo à la Côte d'Azur, la success story de Jennifer Court et son co-cooking

Après avoir passé 20 ans en tant qu'expatriée, de Singapour à New York en passant par le Japon, Jennifer Court a décidé de rentrer en France, juste après la pandémie de Covid-19. Mais ces quelques années passées à l'étranger lui ont donné des idées, notamment celle des cuisines partagées qu'elle a pu observer au Pays du Soleil Levant et qu’elle a finalement lancée à Cannes avec Kyo-Yu Kitchen.

Avec cette activité, l’objectif est de faciliter le démarrage rapide des entrepreneurs des métiers de bouche, notamment les traiteurs, les professionnels de la vente à emporter et de l’événementiel. «C’est le même principe que du coworking mais, là, c‘est plutôt du co-cooking», détaille-t-elle. Avec cette solution, l’idée est donc de bénéficier d'outils de production sans avoir à investir directement ni à s'inquiéter des contraintes normatives.

«A l'étranger, les codes du business ne sont pas les mêmes qu’en France. C'est là que Les Premières m'ont aidée, parce qu'on n'approche pas une clientèle française de la même manière qu'une clientèle américaine ou japonaise», explique-t-elle.

D’ailleurs, après cette première création d’entreprise, Jennifer Court ne compte pas s'arrêter en si bon chemin. Toujours épaulée du réseau Les Premières, elle souhaite désormais reprendre une chocolaterie. «La reprise se focalise sur une chocolaterie assez proche du Luxembourg (…). C'est une société qui est sous-développée, sur laquelle je vais arriver avec un chef chocolatier. L'idée est de développer un réseau (...)

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