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Dissolution de l'Assemblée : Michel-Edouard Leclerc a «peur» qu'on entre «dans une ère de turbulences»

Michel GILE/Gamma-Rapho/Getty Images

L’inquiétude gagne désormais les grands patrons. Dimanche 9 juin au soir, au sortir des élections européennes et de la percée du Rassemblement national, le président Emmanuel Macron a annoncé la dissolution de l’Assemblée nationale. Conséquence directe : des élections législatives vont se tenir les 30 juin et 7 juillet prochains. Face à l’hypothèse d’un nouveau gouvernement mené par l’extrême droite, la gauche a scellé un accord jeudi soir, mais cela ne rassure pas Michel-Édouard Leclerc, rapporte BFMTV. Le patron du groupement Leclerc, qui dit se situer «entre social-démocrate et chrétien coupable», pronostique déjà une Assemblée nationale qui sera divisée en «trois tiers» égaux.

Selon le patron, ce renversement de «l’échiquier» va «fragiliser» l’Europe : «Si on a un ou deux ans de non-gouvernabilité ou de mauvaise gouvernabilité, ça veut dire que l'Ukraine va se retrouver un peu plus seule, que Poutine va avoir des ailes», a-t-il déploré en marge d’une visite de la nouvelle exposition Henri Cartier-Bresson au Fonds pour la culture Hélène et Édouard Leclerc de Landerneau (Finistère). Michel-Édouard Leclerc s’est également dit «stupéfié» par «l'absence de fond» des responsables politiques et la période peu «glorieuse» dans laquelle on vit.

Surtout, le patron du groupement Leclerc s’effraie des conséquences d’une telle division dans la classe politique française qui aura des répercussions directes sur le continent : «Ce qui me fait peur, ce n'est pas le rapport de forces interne (...)

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