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Des députés plaident pour des DNS menteurs pour les mineurs afin de masquer le porno sur le net

DNS_Numerama
DNS_Numerama

En amont des discussions en séance publique du projet de loi SREN, des parlementaires ont une proposition pour tenir les mineurs à l’écart de la pornographie en ligne : mettre en place des DNS menteurs sur leur équipement, qui empêcheraient d’accéder à des sites X.

C’est à partir du 4 octobre que sera examiné à l’Assemblée nationale le projet de loi sur la sécurisation et la régulation de l’espace numérique (dite loi SREN), en séance publique. Pas moins de 1 058 amendements ont été déposés dans ce cadre, après les 952 traités lors du passage du texte en commission. Parmi eux, des mesures visant les VPN, mais aussi les DNS.

En effet, deux amendements en particulier (n°803 et n°804) proposent de mobiliser le système des noms de domaine (DNS, pour Domain Name System) de façon à tenir à l’écart les mineurs des contenus pornographiques accessibles sur le web. Sous réserve de leur recevabilité, ces amendements doivent être débattus par les parlementaires dans les prochains jours.

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Déposés par la députée Clara Chassaniol, membre du groupe Renaissance (ex-LREM), les amendements demandent d’une part un engagement particulier des parents dans la surveillance des activités de leurs enfants, et d’autre part une action de la part des fournisseurs d’accès à Internet (FAI) pour mieux filtrer l’accès, quand celui-ci implique spécifiquement un mineur.

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Crédits photos de l'image de une : Source : Claire Braikeh pour Numerama