Publicité
La bourse est fermée
  • Dow Jones

    38 919,47
    +67,20 (+0,17 %)
     
  • Nasdaq

    16 381,47
    +32,23 (+0,20 %)
     
  • Nikkei 225

    38 835,10
    +599,03 (+1,57 %)
     
  • EUR/USD

    1,0762
    -0,0012 (-0,11 %)
     
  • HANG SENG

    18 479,37
    -98,93 (-0,53 %)
     
  • Bitcoin EUR

    58 991,19
    +1,91 (+0,00 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 318,71
    -46,42 (-3,40 %)
     
  • S&P 500

    5 196,01
    +15,27 (+0,29 %)
     

Démence : prendre ce type de médicaments augmenterait les risques de près de 80%

Justlight - iStock

Nous ne sommes pas tous égaux face au sommeil. Élément indispensable pour une santé de fer, l’assoupissement peut être plus difficile à trouver chez les insomniaques. Les causes peuvent être multiples : stress, mode de vie, travail, maladie ... “70% des Français déclarent avoir eu des problèmes de sommeil au cours des huit derniers jours” révèle une étude IFOP, datée de mars 2022. Pour retrouver les bras de Morphée, certains se tournent vers la prise de somnifères. Mais selon une étude publiée dans le Journal of Alzheimer's Disease, consommés trop régulièrement, ils pourraient augmenter les risques de démence de près de 80%.

Pour obtenir ces résultats, les chercheurs ont suivi un panel d’environ 3000 volontaires âgés de 74 ans en moyenne, pendant une dizaine d’années. Initialement, ces derniers ne présentaient pas de signe de démence, et vivaient en dehors du milieu hospitalier. La fréquence de la prise de somnifère a été enregistrée à trois reprises par un questionnaire. À la question “Prenez-vous des somnifères ou d'autres médicaments pour vous aider à dormir ?”, les volontaires avaient 3 possibilités de réponses : “Jamais, Rarement (maximum une fois par mois), Parfois (entre 2 et 4 fois par mois), Souvent, (entre 5 et 15 fois par mois), ou Presque toujours, (entre 6 et 30 fois par mois)”. Dans leur méthodologie, les spécialistes ont différencié les origines ethniques des participants.

Pour mesurer l’apparition de démence, les chercheurs se sont basés sur les dossiers médicaux, (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite