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Credit suisse : Lazard Frères Gestion, Allianz et GAM perdent gros sur les obligations

Omar Marques/SOPA Images/LightRocket via Getty Images

Lazard Frères Gestion (LFG) et l’américain Pimco (filiale d’Allianz) ont payé un tribut particulièrement lourd à l’occasion du rachat de Credit suisse par UBS orchestré par Berne, la Banque nationale suisse (BNS) et l'Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (Finma). Destinée à rassurer la communauté financière sur le système bancaire et la place financière helvétiques, cette transaction historique, très controversée (les autorités suisses ayant pris quelques libertés, en désavantageant indûment certaines catégories d’investisseurs plutôt que d’autres), leur a en effet occasionné des pertes particulièrement lourdes, suite à l’effacement de certaines obligations.

Selon des déclarations transmises à l'AFP, les deux sociétés de gestion d'actifs ont essuyé des pertes respectives de 142 millions d'euros et d’environ 340 millions de dollars. Le schéma de l’acquisition de Credit suisse par UBS prévoit en effet l'annulation de 17 milliards de dollars de titres de dette dits "CoCo" (Contingent Convertible), aussi appelés Additional Tier 1 (AT1), détenus par des banques ou des fonds. Plus risquées (mais aussi bien plus rémunératrices) que des obligations traditionnelles, ces obligations à conversion obligatoire (sorte de croisement entre une obligation classique et une action) sont un type d’emprunt conditionnel converti en actions d’une entreprise dès que les taux de capitaux propres de la société en question passent au-dessous d’un seuil défini. Ces titres de dette avaient (...)

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