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Crédit immobilier : la Banque de France s’oppose à un assouplissement des règles

Daniele Schneider - Getty Images

La réponse est ferme. Dans un communiqué publié mercredi 5 avril, la Banque de France douche les espoirs des emprunteurs. Alors que le ministère de l’Économie et des Finances a engagé un dialogue avec la Fédération bancaire française (FBF) pour permettre de relancer un marché du crédit immobilier grippé, l’autorité estime que cela serait “le plus mauvais moment pour le faire”, rappelant au passage que l’endettement des ménages français (66% du PIB) est supérieur à la moyenne de la zone euro : “Modifier aujourd’hui ces normes de protection ne changerait pas le cycle normal du crédit immobilier ; par contre, ceci risquerait de pousser nombre de ménages vers des situations de surendettement à durée longue et taux plus hauts.”

Dès lors, l’équation devient difficile pour l’exécutif. La Banque de France siège au sein du Haut conseil de stabilité financière (HCSF), organisme décideur en matière d’octroi de crédit. Difficile de prendre une décision sans son aval. Or la Banque de France avait déjà confié à Capital que les normes du HCSF “ne doivent pas changer”. Ces dernières, depuis le 1er janvier 2022, plafonnent l’endettement des ménages. Les particuliers ne peuvent désormais plus – sauf exception – consacrer plus de 35% de leurs revenus net au remboursement d’un prêt immobilier, assurance comprise. Les crédits sur des durées supérieures à 25 ans ont également été bannis, sauf pour les achats de logements sur plan.

Pour la Banque de France, l’état du marché n’est dû aux règles du HCSF : (...)

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