Publicité
La bourse ferme dans 6 h 6 min
  • CAC 40

    7 527,24
    -33,89 (-0,45 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 898,49
    -31,50 (-0,64 %)
     
  • Dow Jones

    39 169,52
    +50,66 (+0,13 %)
     
  • EUR/USD

    1,0718
    -0,0024 (-0,23 %)
     
  • Gold future

    2 340,50
    +1,60 (+0,07 %)
     
  • Bitcoin EUR

    58 395,99
    -157,21 (-0,27 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 338,79
    -5,72 (-0,43 %)
     
  • Pétrole WTI

    83,99
    +0,61 (+0,73 %)
     
  • DAX

    18 157,98
    -132,68 (-0,73 %)
     
  • FTSE 100

    8 155,37
    -11,39 (-0,14 %)
     
  • Nasdaq

    17 879,30
    +146,70 (+0,83 %)
     
  • S&P 500

    5 475,09
    +14,61 (+0,27 %)
     
  • Nikkei 225

    40 074,69
    +443,63 (+1,12 %)
     
  • HANG SENG

    17 769,14
    +50,53 (+0,29 %)
     
  • GBP/USD

    1,2629
    -0,0020 (-0,16 %)
     

Congés maternité et paternité : il est désormais plus simple de bénéficier des indemnités journalières

Tatiana Syrikova/Pexels

Bonne nouvelle pour les futurs parents. Un décret, publié ce samedi 19 août au Journal officiel, assouplit les conditions pour bénéficier des indemnités journalières dans le cadre d’un congé maternité, paternité ou d’adoption pris par les salariés du privé et les non-salariés agricoles. Dans le détail, le texte réduit de dix à six mois la durée d’affiliation à la Sécurité sociale requise pour ouvrir droit au versement des indemnités journalières lors d’un congé maternité, paternité ou d’adoption. Autrement dit, la période minimale d’emploi exigée passe de dix à six mois.

Cette nouveauté s’applique plus exactement aux congés maternité, paternité et d’adoption dont la date de début est postérieure au lendemain de la publication du décret, c’est-à-dire aux congés intervenant à partir du 20 août. Sont aussi concernés les salariées et les travailleuses non salariées agricoles dont le congé maternité a débuté avant cette date, à condition que le congé ait été prolongé “en raison d’un état pathologique résultant de la grossesse ou de l’accouchement”, précise le décret.

Le but de la mesure est d’aligner les conditions d’ouverture d’un droit aux indemnités journalières dans le cadre d’un congé maternité, paternité ou d’adoption en France sur celles prévues par la directive du Parlement européen et du Conseil concernant l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée des parents et des aidants. En effet, l’article 8 de ce texte prévoit que dans les États membres, “le droit à une rémunération (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite