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Conférence de presse - François Hollande assumera-t-il son virage économique ?

Cet après-midi, le président va devoir expliquer sa stratégie économique pour l'instant peu lisible pour les Français. Un défi.


Mettre en perspective sa stratégie économique, lui donner du sens, tel est l'un des principaux objectifs de François Hollande lors de la première conférence de presse de son quinquennat mardi à 17 heures. Programmé par le chef de l'État lui-même, l'exercice tombe bien. Sondage après sondage, les Français expriment de plus en plus leur perplexité devant l'action de son gouvernement.

Une campagne à gauche

À tort ou à raison, une partie d'entre eux ont surtout retenu la campagne offensive de François Hollande contre la finance, présentée comme "l'ennemi". Plus de six mois plus tard, la réforme bancaire est encore dans les limbes et son ministre de l'Économie, Pierre Moscovici, s'emploie à éviter la séparation promise des banques d'affaires et de celles de dépôt. La priorité semble bel et bien à la préservation du financement bancaire de l'économie. La Banque publique d'investissement (BPI) ne peut à elle seule irriguer les entreprises. Une taxe sur les transactions financières est certes sur les rails au niveau européen, mais elle était soutenue depuis longtemps par son prédécesseur, Nicolas Sarkozy.

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Après avoir fait passer quelques réformes symboliques de sa campagne, comme le retour à la retraite à 60 ans pour ceux qui ont commencé à travailler très tôt, la taxation exceptionnelle des hauts revenus à 75 %, ou encore un coup de pouce au smic (léger) et à l'allocation de rentrée scolaire, François Hollande a aussi fait passer sa première grosse entorse à ses engagements : le traité budgétaire européen a été ratifié par la France sans qu'une seule ligne ait été modifiée. Le pacte de croissance proposé en échange, depuis longtemps dans les cartons de la Commission européenne, n'a servi qu'à habiller cette reculade.

3 % à tout prix

Mais c'est toute la stratégie (...)

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