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Sans confinement, la croissance repartirait à la hausse au premier trimestre

La consommation des ménages, principale composante du PIB, est restée inférieure de 7 % en janvier par rapport à son niveau d'avant la crise, selon l'Insee.
La consommation des ménages, principale composante du PIB, est restée inférieure de 7 % en janvier par rapport à son niveau d'avant la crise, selon l'Insee.

L'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) s'est penché sur les différents scénarios concernant la croissance pour le premier trimestre 2021. La France connaîtra ainsi une croissance de 1,5 % au premier trimestre dans l'hypothèse où les restrictions sanitaires resteraient celles du mois de janvier. Dans le cas d'un confinement du type de celui de novembre d'une durée d'un mois, cette croissance deviendrait nulle, et le produit intérieur brut (PIB) se rétracterait de 1 % si ce confinement devait durer 7 semaines, a ajouté l'Institut national des statistiques.

Le niveau du PIB restera en retrait par rapport à son niveau d'avant-crise, c'est-à-dire celui du quatrième trimestre 2019, de 4,5 ou 6 points de pourcentage en fonction de chacun des trois scénarios. Sur l'ensemble de l'année 2020, l'objectif de 6 % de croissance que s'est fixé le gouvernement « n'est pas inatteignable », a estimé Julien Pouget, chef du département conjoncture de l'Insee, lors d'un point de presse en ligne. Il a notamment mis en avant le recul moins important que prévu du PIB au dernier trimestre 2020 (- 1,3 %) malgré le deuxième confinement, ce qui amène « un effet d'acquis plus important » permettant d'entamer l'année 2021 sur une meilleure base.

« La crise est une épreuve d'endurance »

Cette bonne nouvelle permet aussi de « réviser à la baisse le coût du durcissement des mesures sanitaires », selon lui. Même « un confinement plus dur n'aurait pas le même i [...] Lire la suite