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«Complément d'enquête» : qui tire profit des milliards investis dans l'apprentissage ?

Vlada Karpovich/Pexels

Le coup de rabot est confirmé. Dès le 1er mai, l’aide de 6 000 euros versée aux entreprises pour l’embauche d’un salarié en contrat de professionnalisation va être supprimée par le gouvernement. Une aide qui avait été mise en place en juillet 2020, au plus fort de la crise sanitaire afin de soutenir l’emploi des jeunes et prolongée à plusieurs reprises, sur volonté du chef de l’État qui en avait fait une promesse de campagne. En 2023 par exemple, le contrat de professionnalisation a représenté 15% des contrats d'alternance signés dans l’industrie.

Oui, mais voilà, sans plafond, le dispositif coûtait cher : pas moins de 22 milliards d’euros en 2023, selon franceinfo. Dans un nouveau numéro diffusé ce jeudi 25 avril, «Complément d’enquête» s’est penché sur ce dispositif qui abonde de fonds publics les écoles et entreprises qui ont décidé de jouer le jeu. Les journalistes du magazine se sont posé la question : «A qui profitent réellement ces milliards ?» et «pour quels résultats ?» Dans un premier extrait déjà diffusé, un journaliste se fait passer pour un étudiant et tente d’intégrer une école de commerce reconnue. Ayant rendez-vous pour une admission, il ne trouve pas de salle d’examen, mais est reçu dans un bureau.

Sur place, on lui propose de faire un entretien accéléré «pour ne pas attendre les résultats du concours». Normalement, la formation proposée est dispensée en anglais. Mais le test d’anglais va être très rapide : le journaliste bafouille son anglais, qui ressemble davantage (...)

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