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«Le char du futur» : à quoi ressemblera l'armement franco-allemand de demain ?

Anton Petrus

A l’assaut du futur. Ce vendredi 26 avril, Sébastien Lecornu, ministre des Armées français, et son homologue allemand Boris Pistorius ont enfin approuvé la répartition de huit piliers à développer en phase 1A pour construire un pré-prototype de leur «char du futur» : plateformes, tourelle et canon, feux innovants (missiles, armes à effet dirigé), communications et «cloud» de combat, simulation, protection et infrastructure.

Mentionné dans la loi de programmation militaire 2023 pour les années 2024 à 2030, ce Main Ground Combat System (MGCS), ou Système Principal de Combat Terrestre en français, doit remplacer les chars Leclerc français et Léopard allemand à l'horizon 2040.

Mais plus qu’un simple engin blindé lourd classique amélioré, le MGCS a été pensé comme un système multiplateforme qui intègre les dernières avancées technologiques, notamment un véhicule d’appui nativement robotisé qui sera doté d’armes laser et de drones, et qui utilisera aussi l’intelligence artificielle pour assister les équipages dans leur prise de décision, précise le ministère des Armées.

Il a fallu «beaucoup de temps et d'efforts mais la signature de cet accord aujourd'hui est vraiment un jalon», s'est félicité Boris Pistorius. Financé et développé à parts égales par Paris et Berlin et mené sous direction allemande, ce programme était à l'origine conduit par KNDS, une entité créée pour l'occasion entre le français Nexter et l'allemand KMW. L'irruption en 2019 de l'allemand Rheinmetall avait déstabilisé (...)

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