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Le changement climatique pourrait coûter cher aux propriétaires et aux assureurs

Les assureurs connaissent bien ce phénomène qui prend de l'ampleur. Le retrait-gonflement des sols argileux (RGA) est causé par le sous-sol argileux qui change de volume selon son humidité, comme le fait une éponge ; il gonfle avec l’humidité et se resserre avec la sécheresse, entraînant des tassements verticaux et horizontalement, des fissurations du sol. En cas de forte amplitude thermique ou de précipitations, l’assise d’une maison installée sur ce sol devient alors instable.

Si ces phénomènes naturels sont sans danger physique pour les populations, la différence de tassement peut avoir des conséquences importantes sur les bâtiments à fondations superficielles, notamment les maisons individuelles. Ceci se traduit par des fissurations en façade. Les éléments jointifs, tels que les garages, terrasses ou encore perrons, peuvent aussi se détacher. Ces tassements peuvent également entraîner une distorsion des portes et fenêtres, une dislocation des dallages et des cloisons et, parfois, la rupture de canalisations enterrées.

C'est ce qui est arrivé à Odile et Dominique, un couple habitant à Saint-Michel-sur-Orge (Essonne), interrogé par les journalistes du Parisien ce lundi. Leur maison s'est fissurée à la suite d’un tassement du sol argileux causé par la récente sécheresse, avec à la clé une facture de travaux de 240.000 euros pour forer des micropieux destinés à soutenir les fondations de leur habitation. Autre exemple, cet habitant d’Argenteuil (Val-d’Oise) dont la maison est devenue (...)

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