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Cdiscount : prix en baisse, offre pléthorique… Comment l’e-commerçant de Casino se relance

Capital

Le ciel commence à s’éclaircir pour Cdiscount. La filiale de e-commerce du groupe Casino, rachetée en mars 2024 par le consortium composé des hommes d’affaires Daniel Krestinsky et Marc Ladreit de Lacharrière, adossés au fonds d’investissement Atestor, est en pleine transformation. Après avoir opéré un plan d’économies de 120 millions d’euros en 2022-2023, pour investir 160 millions d’euros sur la même période, l’enjeu de Cdiscount est clair. «Nous voulons repartir à la conquête du marché», nous confie Thomas Métivier, PDG de Cdiscount.

Comme les autres filiales du groupe Casino, piloté par Jean-Charles Naouri de 1997 à 2024, Cdiscount a fait les frais d’une mauvaise gestion et d’un manque d'investissement criant, auxquels s’ajoute un environnement peu porteur pour la consommation depuis la crise sanitaire. La preuve, en 2022, le volume d’affaires de Cdiscount, c'est-à-dire l'addition des ventes réalisées en direct et de celles opérées par les marchands tiers de sa place de marché, a plongé de 15 % sur un an, à 3,5 milliards d’euros. L'Ebitda (excédent brut d’exploitation) a diminué de moitié, à 50 millions d'euros et la perte nette a été multipliée par un peu moins de trois sur un an, à -128 millions d'euros contre -51 millions en 2021. Il y avait urgence à revoir la copie et à transformer le modèle pour arrêter l’hémorragie.

Le deuxième acteur de l’e-commerce en France derrière Amazon, avec 2,7 milliards d’euros de volume d'affaires en 2023 mais une perte nette de 100,4 millions (...)

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