Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    7 517,68
    +90,66 (+1,22 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 862,50
    +51,22 (+1,06 %)
     
  • Dow Jones

    40 589,34
    +654,27 (+1,64 %)
     
  • EUR/USD

    1,0858
    +0,0008 (+0,08 %)
     
  • Gold future

    2 385,70
    +32,20 (+1,37 %)
     
  • Bitcoin EUR

    62 586,52
    +878,31 (+1,42 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 374,19
    +43,58 (+3,28 %)
     
  • Pétrole WTI

    76,44
    -1,84 (-2,35 %)
     
  • DAX

    18 417,55
    +118,83 (+0,65 %)
     
  • FTSE 100

    8 285,71
    +99,36 (+1,21 %)
     
  • Nasdaq

    17 357,88
    +176,16 (+1,03 %)
     
  • S&P 500

    5 459,10
    +59,88 (+1,11 %)
     
  • Nikkei 225

    37 667,41
    -202,10 (-0,53 %)
     
  • HANG SENG

    17 021,31
    +16,34 (+0,10 %)
     
  • GBP/USD

    1,2873
    +0,0019 (+0,14 %)
     

Mais comment un cancer peut-il survenir sans mutation dans l’ADN ?

Colin Behrens/Pixabay

Jusqu’alors, les scientifiques s’accordaient pour expliquer les origines des cancers : une cellule normale était altérée par des anomalies, comme des mutations dans l’ADN. Une tumeur est, par exemple, un amas de cellules anormales provoqué par une perturbation épigénétique. Mais selon nos confrères du Monde, un cancer a été détecté sans mutation de l’ADN. C’est ce qu’ont découvert des scientifiques dans certains cas, comme l’explique le directeur de recherche au CNRS à l’Institut de génétique humaine (Montpellier) Giacomo Cavalli : «Il y a eu quelques doutes, notamment dans la dernière décennie, puisque dans certains cancers, on n’a pas vraiment trouvé de mutation.»

Mais comment cela est-il possible ? Grâce à l’épigénétique ? Ce terme désigne la discipline de la biologie qui étudie la nature des mécanismes modifiant de manière réversible, transmissible et adaptative l'expression des gènes. Contrairement à la génétique, l’épigénétique s’intéresse à une «couche» d’informations complémentaires qui définit comment ces gènes sont susceptibles d'être utilisés par une cellule. Selon nos confrères, de nombreuses études récentes avaient montré le rôle de l’épigénétique dans le cancer, or, selon Giacomo Cavalli, «l’épigénétique intervenait toujours secondairement». Le scientifique indique qu’il y avait d’abord des «mutations» qui «entraînaient des dérégulations épigénétiques» et qui «contribuaient à la prolifération des cellules cancéreuses».

L’équipe de l’Institut de génétique humaine s’est (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Un cas de fièvre de Lassa détecté en Île-de-France : ce que l’on sait
Innovation dans l’éducation : ces entreprises qui révolutionnent l’école !
JO 2024 : le gouvernement peut-il limiter le droit de grève pendant l'événement ?
L'empire Mulliez dans la tourmente : plusieurs de ses membres soupçonnés de fraude
Carla Bruni entendue comme «mise en cause» dans l'enquête sur le financement libyen impliquant Sarkozy