C-zam : 6 semaines après la fermeture, de l'argent encore bloqué
Décidément, la courte existence de C-zam n’aura pas été une sinécure. Lancé en 2017, le compte de paiement était une réponse au succès de Nickel, dont il s’inspirait fortement : une carte bancaire prête à payer, vendue dans un coffret. Seul le réseau de distribution changeait : les bureaux de tabac pour Nickel, les magasins Carrefour pour C-zam.
Pourtant, alors que Nickel est en route pour atteindre les 2 millions de clients, C-zam n’a jamais vraiment trouvé son public, plafonnant autour des 120 000 comptes ouverts. Il faut dire que le service a rapidement eu mauvaise réputation, accumulant les dysfonctionnements : service client aux abonnés absents, virements hors délais, refus de paiement injustifié…
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