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Brune Poirson : la reconversion en or de l'ex-ministre dans le privé

L’information était passée largement inaperçue. En mars 2022, Brune Poirson a rejoint le club très sélect des administrateurs de la société européenne Getlink (ex-groupe Eurotunnel), concessionnaire (jusqu’en 2086) de l’infrastructure du Tunnel sous la Manche. Une activité autorisée par la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP), qui contrôle les reconversions des ex-ministres dans le privé. Mais à la condition que l’ancienne secrétaire d’Etat à la Transition écologique s’abstienne de toutes démarches auprès d’Elisabeth Borne - son ancienne ministre de tutelle - et plus généralement de l’administration publique, jusqu’au 6 juillet 2023, date du troisième “anniversaire” de sa démission du gouvernement Philippe II.

Une précaution purement théorique selon Getlink, qui précise auprès de Capital que le mandat d'administrateur “n’implique pas la réalisation de démarches auprès des pouvoirs publics”.

Pas vraiment chronophage, puisqu’il consiste à assister à une dizaine de réunions par an (9 en 2021), le nouveau job de Brune Poirson est plutôt bien payé. Ainsi, le barème des administrateurs de Getlink est composé d’une rémunération fixe de 20.400 euros par an, à laquelle s’ajoute une part variable de 2.000 euros par présence à chaque réunion du CA. Pour couronner le tout, l’ex-députée du Vaucluse va encaisser un chèque de 850 euros en participant à quelques (2 par an, en moyenne) réunions du comité éthique et RSE de Getlink.

La société qui a absorbé Eurotunnel n’est (...)

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