Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    8 088,24
    +71,59 (+0,89 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    5 006,85
    +67,84 (+1,37 %)
     
  • Dow Jones

    38 239,66
    +153,86 (+0,40 %)
     
  • EUR/USD

    1,0699
    -0,0034 (-0,32 %)
     
  • Gold future

    2 349,60
    +7,10 (+0,30 %)
     
  • Bitcoin EUR

    59 611,62
    -705,27 (-1,17 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 327,96
    -68,57 (-4,91 %)
     
  • Pétrole WTI

    83,66
    +0,09 (+0,11 %)
     
  • DAX

    18 161,01
    +243,73 (+1,36 %)
     
  • FTSE 100

    8 139,83
    +60,97 (+0,75 %)
     
  • Nasdaq

    15 927,90
    +316,14 (+2,03 %)
     
  • S&P 500

    5 099,96
    +51,54 (+1,02 %)
     
  • Nikkei 225

    37 934,76
    +306,28 (+0,81 %)
     
  • HANG SENG

    17 651,15
    +366,61 (+2,12 %)
     
  • GBP/USD

    1,2494
    -0,0017 (-0,13 %)
     

Boursorama a creusé ses pertes pour dépasser les 2 millions de clients

Crédits : Boursorama lance « mylombard » pour les gros épargnants
Carte et chéquier Boursorama

La « croissance très importante du fonds de commerce pèse sur le résultat net », avoue ce jeudi, dans le communiqué d’annonce de ses chiffres 2019, le leader de la banque en ligne en France. Boursorama Banque joue la transparence sur ses pertes, qui s’établissent à « près de -50 millions d’euros » en 2019, après près de 30 millions d’euros l’année précédente. « Pour comprendre ce résultat, il faut intégrer le fait que plus de 40% des dépenses sont directement liées à l’acquisition des clients », explique la banque, en soulignant que le résultat serait de +35 millions d’euros en effaçant les dépenses marketing et coûts d’acquisition liés à l’acquisition de nouveaux clients.

Boursorama assume donc la stratégie d’une période de pertes pour renforcer sa position de leader du marché des banques en ligne. Ou plutôt des « banques challengers », pour reprendre le vocable utilisé dans ce même communiqué, le concept de challenger s’entendant en opposition aux banques traditionnelles disposant d’un réseau d’agences. Les autres « banques challengers » sont elles sur des stratégies différentes : ING visait la rentabilité économique en 2020 mais a dû la repousser à cause de la crise du Covid-19, Hello bank espère être dans le vert « à l’horizon 2022 », et Fortuneo revendique d’avoir d’ores et déjà atteint la rentabilité économique.

Lire la suite sur MoneyVox

Voir également
- Electricité : est-ce rentable de produire et revendre son énergie solaire ?
- Immobilier : le b.a.-ba pour investir avant sa retraite
- Crédit immobilier : l'impact du coronavirus