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Black Friday : un événement commercial décrié, mais sur lequel le gouvernement n'a pas la main

Faut-il maintenir le Black Friday? Déjà décriée les années précédentes pour son impact environnemental, la journée de promotions interroge et suscite la colère dans un contexte de confinement et de fermeture des commerces "non-essentiels". Traditionnellement organisée au lendemain de Thanksgiving, et marquant le début des achats des fêtes de fin d'année en Amérique du Nord, le Black Friday s'est diffusé partout dans le monde. Elus et commerçants demandent désormais son annulation en France pour ne pas distordre davantage la concurrence au profit des sites de vente en ligne.

Les commerçants défendent une interdiction

Dans une tribune publiée dans le JDD dimanche, Francis Palombi, président de la Confédération des commerçants de France (CDF), Jacques Ehrmann, président du Conseil national des centres commerciaux (CNCC), Jean-Claude Delorme, président de la Fédération française des associations de commerçants (FFAC) et Jean-Pierre Lehmann, président de la Fédération nationale des centres-villes "Vitrines de France" (FNCV) plaident pour l'interdiction de ce "vendredi noir". "En période de 'guerre sanitaire', il faut savoir établir une 'convention de Genève' de la concurrence. Celle-ci n’existe plus ; seul le monopole des 'pure players' subsiste", assurent-ils, déplorant des campagnes de publicité "outrancières" tandis que les "magasins de France" sont toujours fermés.

Lire aussi - TRIBUNE. "Un mois et demi avant les fêtes de fin d'année, achetons made in France!"

Dès le mois d'oc...


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