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Auto-entrepreneur : quels impôts pour sa micro-entreprise ?

Bourse : comment déclarer aux impôts vos plus-values et vos pertes
Impôt sur le revenu

C’est un succès qui ne se dément pas. Un peu plus de 10 ans après sa création, le nombre de micro-entrepreneurs – qui remplace le nom d’auto-entrepreneur depuis 2016 – frôle la barre des 1,5 million avec 78 000 nouvelles immatriculations en 2019 (+25%) selon les derniers chiffres de l’Insee (1). Ces créateurs d’entreprises individuelles bénéficient d'un régime simplifié qui facilite leur début d'activité comme indépendant. D'un point de vue fiscal, le micro-entrepreneur a le choix entre le régime fiscal classique ou le prélèvement libératoire de l'impôt sur le revenu.

Le régime fiscal classique

L’auto-entrepreneur doit remplir une simple déclaration complémentaire, l'annexe 2042 C Pro, au moment de la campagne de déclaration de revenus au printemps. Concernant les bénéfices industriels et commerciaux (BIC) liés à une activité commerciale ou artisanale, certains utiliseront la case 5KO « vente de marchandises et assimilés », les autres utiliseront la case 5KP « prestations de services ». Dans le cadre d’une activité libérale (dentiste, avocat, consultant...), il s’agit de bénéfices non commerciaux (micro-BNC) à inscrire en case 5HQ.

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