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Non, un arrêt de travail pour «burn-out» n'est pas un arrêt de complaisance

WavebreakMediaMicro/Adobe Stock

Depuis plusieurs années, de plus en plus d’employeurs contestent la légitimité médicale du burn-out. Le Conseil d’État a rendu sa décision mardi 4 juin : les arrêts maladie prescrits pour un burn-out ne sauraient être considérés comme des certificats de complaisance. La plus haute juridiction administrative confirme ainsi l’annulation d’une décision de la chambre disciplinaire nationale de l’ordre des médecins, datée de 2022, appuyant la requête d’une entreprise à l’encontre du praticien ayant octroyé un arrêt à l’une de ses employées, précise le journal L’Humanité.

Le «burn-out» ou «épuisement professionnel» est reconnu officiellement depuis 2019 par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) comme maladie. Cependant, des employeurs remettent en cause sa légitimité médicale tandis que le gouvernement souhaite réduire le nombre d’arrêts délivrés. Le 30 mai dernier, un rapport de la Cour des comptes proposait en outre de réduire la durée d’indemnisation maximale pour un arrêt maladie de trois à deux ans, rappellent nos confrères.

Cependant, plusieurs récentes décisions de justice ont donné gain de cause aux professionnels de santé face aux employeurs. L’arrêt du Conseil d’État pourrait désormais faire jurisprudence. Depuis le Covid-19, ce syndrome d’épuisement professionnel est en constante augmentation. Selon une étude menée en 2022 par Opinion Way, le nombre de salariés ayant souffert d’un burn-out sévère a triplé par rapport à celui d'avant la pandémie, atteignant 2,5 millions (...)

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