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Argentine : à peine élu président, l'ultralibéral Javier Milei annonce une thérapie de choc

Anita Pouchard Serra/Bloomberg/Getty Images

Un candidat d'extrême droite à la tête de la troisième puissance d'Amérique latine : dimanche, Javier Milei, 53 ans, a été élu à la tête de l'Argentine en proposant une thérapie de choc face à l'inflation record dans le pays. «L'Argentine a depuis des décennies un déficit budgétaire important : une forte culture d'attentes sociales, mais peu de croissance, donc des dépenses qui ne sont plus finançables», résume l'historien Roy Hora, du centre de recherche Conicet. Le «traitement de choc» promis pour équilibrer les comptes vise à réduire à la «tronçonneuse» la dépense publique (de 15%), et des privatisations, pour parvenir à la discipline budgétaire requise par le FMI, auquel le pays s'éreinte a rembourser un prêt de 44 milliards de dollars octroyé en 2018. Il prône aussi la fin des subventions chroniques (transports, énergie), une libéralisation des prix, la suppression des taxes à l'export.

Javier Milei préconise «un ajustement beaucoup plus dur» que celui demandé par le FMI. Cette volonté de tarir la dépense publique soulève le problème de l'impact social, dans un pays où 40% des habitants vivent sous le seuil de pauvreté et 51% reçoivent une forme d'aide ou subside. «La douleur sera aigüe et largement ressentie s'il y a un vrai plan de stabilisation, et il n'est pas dit que les Argentins en voient le bon côté», prédit Benjamin Gedan, spécialiste de l'Argentine au think tank américain Wilson Center. «Javier Milei apporte avec lui un ingrédient de confrontation politico-sociale, (...)

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