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« Après le séisme, la vie et la santé des Syriens et Turcs doivent primer sur les considérations politiques »

© BULENT KILIC / AFP

Voici leur tribune : « Plus d’un mois après le séisme en Turquie et en Syrie, pire catastrophe naturelle dans la région depuis plus d’un siècle, Médecins du Monde déplore que les agendas politiques de la communauté internationale l’emportent sur l’aide humanitaire. Entre un État turc où la démocratie se fissure, des territoires du nord-ouest syrien ravagés par douze ans de guerre, des États tiers qui mesurent leur aide à l’aune de considérations politiques et les difficultés d’accès aux zones sinistrées, les populations sont victimes d’un cruel abandon.

Le 6 février, des secousses mortelles ont percé la nuit dans le sud de la Turquie et dans les zones rebelles du nord-ouest syrien. Des bâtiments entiers se sont effondrés, entraînant la mort de plus de 51 000 personnes et plus de 110 000 blessés. 26 millions de personnes sont affectées par ce séisme massif selon l’OMS.

La réponse d’urgence n’est aujourd’hui pas à la hauteur des besoins humanitaires colossaux et durables des populations

Nos équipes de Médecins du Monde, présentes dans ces zones en Turquie et en Syrie depuis plusieurs années, ont pu être à l’œuvre dès les premières heures de la catastrophe. En déplacement sur place un mois après, il nous semble fondamental de témoigner que la réponse d’urgence n’est aujourd’hui pas à la hauteur des besoins humanitaires colossaux et durables des populations.

Il n’y a plus un seul hôpital public opérationnel dans toute la Province de Hatay. Des familles entières vive...


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