Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    8 088,24
    +71,59 (+0,89 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    5 006,85
    +67,84 (+1,37 %)
     
  • Dow Jones

    38 239,66
    +153,86 (+0,40 %)
     
  • EUR/USD

    1,0699
    -0,0034 (-0,32 %)
     
  • Gold future

    2 349,60
    +7,10 (+0,30 %)
     
  • Bitcoin EUR

    58 966,29
    -1 280,74 (-2,13 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 304,48
    -92,06 (-6,59 %)
     
  • Pétrole WTI

    83,66
    +0,09 (+0,11 %)
     
  • DAX

    18 161,01
    +243,73 (+1,36 %)
     
  • FTSE 100

    8 139,83
    +60,97 (+0,75 %)
     
  • Nasdaq

    15 927,90
    +316,14 (+2,03 %)
     
  • S&P 500

    5 099,96
    +51,54 (+1,02 %)
     
  • Nikkei 225

    37 934,76
    +306,28 (+0,81 %)
     
  • HANG SENG

    17 651,15
    +366,61 (+2,12 %)
     
  • GBP/USD

    1,2494
    -0,0017 (-0,13 %)
     

Airbus : l'Etat peut-il empêcher les 15.000 suppressions de poste?

Le secteur aérien est au plus mal. Quelques heures après l'annonce par Air France d'un plan de 7.600 suppressions de postes, Airbus a annoncé mardi soir vouloir supprimer "approximativement 15.000 postes", soit 11% de ses effectifs dans le monde d'ici à l'été 2021. Le groupe aéronautique, qui n'a pas exclu des licenciements secs, justifie cette saigné par la nécessité de "redimensionner son activité dans l'aviation commerciale" face à la crise due au coronavirus. Dans le détail, sur un total de 135.000 salariés, environ 5.100 postes seront supprimés en Allemagne, 5.000 en France, 1.700 au Royaume-Uni, 900 en Espagne et 1.300 sur les autres sites du groupe dans le monde.

Lire aussi - Depuis le Covid-19, la société Tarmac s'occupe des avions tombés du ciel

Concrètement, la direction ne parle pas encore d'un plan "social" avec 15.000 licenciements secs à la clé. Le PDG Guillaume Faury a d'ores et déjà évoqué des départs en retraite anticipée, des départs volontaires et des accords de compétitivité, négociés avec les syndicats, qui pourraient inclure des baisses de salaires ou l'abandon provisoire de congés payés ou de RTT. Et, détail important, aucune fermeture de site n'est officiellement prévue.

Malgré ces gages, les gouvernements français, allemand et gallois – deux des principaux sites Airbus du Royaume-Uni se trouvent au Pays-de-Galles, à Newport et Broughton – se sont émus de l'ampleur du plan "d'adaptation". Même s'ils reconnaissent les difficultés financières d'Airbus, l...


Lire la suite sur LeJDD