Publicité
Marchés français ouverture 8 h 1 min
  • Dow Jones

    39 308,00
    -23,90 (-0,06 %)
     
  • Nasdaq

    18 188,30
    +159,54 (+0,88 %)
     
  • Nikkei 225

    40 580,76
    +506,06 (+1,26 %)
     
  • EUR/USD

    1,0792
    +0,0043 (+0,40 %)
     
  • HANG SENG

    17 978,57
    +209,47 (+1,18 %)
     
  • Bitcoin EUR

    55 850,45
    -1 619,56 (-2,82 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 261,67
    -73,24 (-5,49 %)
     
  • S&P 500

    5 537,02
    +28,01 (+0,51 %)
     

Airbnb, Abritel, Booking… des élus de tous bords appellent à encadrer les locations touristiques

Yuriko Nakao/Getty Images

Une initiative transpartisane veut réguler les locations touristiques de courte durée. Ce mardi 2 mai, plusieurs sénateurs et députés de différents bords et de différentes régions alertent le Gouvernement sur la crise du logement qui touche les grandes villes ainsi que les communes du littoral à cause des plateformes de locations de biens pour de courtes durées. Airbnb, Booking ou encore Abritel sont dans le viseur.

Selon les élus EELV, PS, Horizons et LR, ces sociétés de réservations empêchent les habitants locaux de se loger pour de longues durées. Étudiants et familles comme actifs et saisonniers sont concernés. Pour y remédier, les parlementaires présentent une série de mesures. Ils souhaitent d’abord "la suppression de la niche fiscale dont bénéficient les locations saisonnières meublées touristiques de courte durée", a expliqué Julien Bayou sur France Inter. Les élus demandent également l’abaissement du nombre maximum de nuitées de 120 à 90, y compris pour les résidences secondaires. Aussi, ils proposent de "mettre en œuvre un ‘agrément meublé de courte durée’ pour l’ensemble des locations saisonnières proposées sur une plateforme numérique". Ils plaident en outre pour la suppression de l’avantage fiscal et la possibilité pour les villes de choisir leur niveau de régulation.

Si les élus sont aussi impliqués pour réguler ces plateformes de locations, c’est parce que le sujet est devenu inflammable dans certaines villes. Comme à Biarritz. "C’est devenu un enfer, plus aucun (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Allemagne : un ticket à 49 euros par mois permet de faire le tour du pays
Mobilisation contre la réforme des retraites : une partie des entreprises paye un lourd tribut
Voici comment les ailes permettent à un avion de voler
Chez IBM, l'IA pourrait remplacer près de 8.000 postes dans les cinq prochaines années
Emobot, le robot qui décèle les signes de dépression chez les plus âgés