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Accueil. Menacée par son propre pays, une athlète biélorusse trouve refuge en Pologne

Le 4 août, l’athlète biélorusse Krystsina Tsimanouskaya est attendue à Varsovie. Tout en exprimant sa fierté de voir la Pologne accueillir autant de Biélorusses victimes du régime autoritaire d’Alexandre Loukachenko, ce quotidien polonais déplore la faiblesse des condamnations internationales.

“Elle a choisi notre pays”, se félicite le quotidien polonais conservateur Rzeczpospolita en commentaire de l’arrivée attendue, ce 4 août à Varsovie, de l’athlète biélorusse Krystsina Tsimanouskaya. La sprinteuse de 24 ans concourait aux Jeux olympiques de Tokyo mais a été suspendue par sa délégation après des propos critiques concernant la Biélorussie. Et, dimanche 1er août, elle a failli être ramenée de force dans son pays d’origine. Viktor Loukachenko, le président du Comité national olympique biélorusse, n’est autre que le fils aîné d’Alexandre Loukachenko, à la tête de la Biélorussie depuis 1994 et souvent qualifié de “dernier dictateur d’Europe”.

À lire aussi: Jeux olympiques. Une sprinteuse biélorusse conduite à l’aéroport de Tokyo “contre son gré”

Le journal rappelle le sort d’autres sportifs biélorusses qui, “pour avoir soutenu en 2020 les manifestations de masse contre la manipulation de l’élection présidentielle, ont été accusés de porter atteinte à l’image du pays et sont aujourd’hui considérés comme des traîtres. Un footballeur et un champion de kick-boxing sont en prison. D’autres ont perdu leur emploi. La nageuse de premier plan Aliaksandra Herasimenia ne peut pas rentrer chez elle sous peine d’être envoyée au goulag [elle vit actuellement en exil en Lituanie, où elle participe à l’opposition à Alexandre Loukachenko].”

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Pour sa part, Krystsina Tsimanouskaya a reçu des propositions de divers pays européens mais “trouvera refuge en Pologne, poursuit le journal. On ne sait pas si ce choix est définitif et si l’athlète n’

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