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Abandon de poste : pourquoi la procédure sur la fin des indemnités chômage inquiète autant

Ricochet64/Adobe Stock

Encore beaucoup d’incertitudes. Le décret encadrant la procédure de présomption de démission en cas d’abandon de poste d’un salarié est paru au Journal officiel, mardi 18 avril. Dans la foulée, le ministère du Travail a publié une page au format questions-réponses pour apporter des précisions sur la mesure. Mais dans un entretien accordé à Capital, l’avocate spécialisée en droit du travail Michèle Bauer estime que ces textes ne clarifient pas suffisamment la procédure. Loin de là.

Pour rappel, cette nouvelle disposition a été instaurée par la loi sur l’assurance chômage, promulguée fin 2022. Désormais, en cas d’abandon de poste, l’employeur peut enclencher une procédure de présomption de démission. Cette dernière n’ouvrant pas, sauf cas exceptionnels, droit au chômage, la mesure revient donc à supprimer le droit aux allocations pour le salarié. Car jusqu’ici, un abandon de poste conduisait le plus souvent à un licenciement pour faute grave. Ce qui permettait donc au salarié d’être indemnisé par Pôle emploi.

Dans le détail, pour enclencher la procédure de présomption de démission, l’employeur doit désormais envoyer en recommandé ou remettre en main propre à son salarié une mise en demeure de justifier son absence et de regagner son poste. Si l’employé ne reprend pas le travail dans un délai de 15 jours au minimum, il est considéré comme démissionnaire. Cependant, si le salarié quitte volontairement son poste pour un motif “légitime”, il peut contester la présomption de démission (...)

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