Publicité
La bourse ferme dans 6 h 13 min
  • CAC 40

    8 038,41
    +21,76 (+0,27 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 970,08
    +31,07 (+0,63 %)
     
  • Dow Jones

    38 085,80
    -375,12 (-0,98 %)
     
  • EUR/USD

    1,0745
    +0,0012 (+0,11 %)
     
  • Gold future

    2 360,70
    +18,20 (+0,78 %)
     
  • Bitcoin EUR

    59 980,61
    +286,15 (+0,48 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 389,92
    -6,61 (-0,47 %)
     
  • Pétrole WTI

    83,60
    +0,03 (+0,04 %)
     
  • DAX

    18 046,65
    +129,37 (+0,72 %)
     
  • FTSE 100

    8 105,50
    +26,64 (+0,33 %)
     
  • Nasdaq

    15 611,76
    -100,99 (-0,64 %)
     
  • S&P 500

    5 048,42
    -23,21 (-0,46 %)
     
  • Nikkei 225

    37 934,76
    +306,28 (+0,81 %)
     
  • HANG SENG

    17 651,15
    +366,61 (+2,12 %)
     
  • GBP/USD

    1,2518
    +0,0007 (+0,06 %)
     

Les 4 policiers accusés d'avoir tabassé un homme, placés en garde à vue à l'IGPN

Les quatre policiers qui font l'objet d'une enquête de la police des polices après les images de tabassage d'un producteur de musique à Paris sont convoqués ce vendredi pour être entendus sous le régime de la garde à vue.

Les quatre policiers qui font l'objet d'une enquête de la police des polices après les images de tabassage d'un producteur de musique à Paris sont convoqués ce vendredi pour être entendus sous le régime de la garde à vue, a appris l'AFP de sources concordantes. Les quatre hommes, suspendus depuis jeudi de leurs fonctions, sont attendus dans les locaux de l'IGPN, chargée de cette enquête ouverte depuis mardi pour "violences" et "faux en écriture publique", a appris l'AFP de source proche du dossier, confirmée par le parquet de Paris.

Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a indiqué jeudi soir qu'il demanderait "la révocation" des policiers mis en cause, "dès que les faits seront établis par la justice". Il les a accusés d'avoir "sali l'uniforme de la République". Une vidéo publiée jeudi par le site Loopsider, et largement diffusée sur les réseaux sociaux, montre un homme noir, Michel Zecler, roué de coups par des fonctionnaires de police dans l'entrée d'un studio de musique du XVIIe arrondissement de la capitale. Ces faits se sont déroulés le samedi 21 novembre.

"Je voudrais juste que le travail (de l'IGPN, ndlr) soit fait"

Michel Zecler a dans un premier temps été placé en garde à vue dans le cadre d'une enquête ouverte par le parquet de Paris pour "violences sur personne dépositaire de l'autorité publique" et "rébellion". Mais le parquet de Paris a classé cette enquête et ouvert mardi une nouvelle procédure pour "violences par personnes dépositaires de l'autorité publique" et "faux en écriture publique", confiée à l'Inspection générale de la police nationale (IGPN), la police des polices. "On m'a dit 'sale nègre' plusieurs fois et en me donnant des coups de poing", a dénoncé jeudi la victime en venant porter(...)


Lire la suite sur Paris Match