Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    8 219,14
    +31,49 (+0,38 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    5 085,08
    +30,67 (+0,61 %)
     
  • Dow Jones

    39 512,84
    +125,08 (+0,32 %)
     
  • EUR/USD

    1,0772
    -0,0012 (-0,11 %)
     
  • Gold future

    2 366,90
    +26,60 (+1,14 %)
     
  • Bitcoin EUR

    56 577,93
    -1 712,57 (-2,94 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 262,99
    -95,02 (-7,00 %)
     
  • Pétrole WTI

    78,20
    -1,06 (-1,34 %)
     
  • DAX

    18 772,85
    +86,25 (+0,46 %)
     
  • FTSE 100

    8 433,76
    +52,41 (+0,63 %)
     
  • Nasdaq

    16 340,87
    -5,40 (-0,03 %)
     
  • S&P 500

    5 222,68
    +8,60 (+0,16 %)
     
  • Nikkei 225

    38 229,11
    +155,13 (+0,41 %)
     
  • HANG SENG

    18 963,68
    +425,87 (+2,30 %)
     
  • GBP/USD

    1,2525
    +0,0001 (+0,01 %)
     

Épargne : de nouvelles possibilités pour le placement à court terme

© iStockphoto/Getty Images

Un bouleversement aussi rapide que brutal. En l’espace d’un an, la situation sur le front des taux d’intérêt s’est totalement retournée. Singulièrement favorable aux emprunteurs, avec un coût des crédits immobiliers historiquement faible, inférieur à 1,5 % de début 2018 au printemps 2022, le contexte était à l’opposé particulièrement délicat pour l’épargnant, la rémunération des placements sans risques étant proche de zéro – 0,5 % pour le livret A de février 2020 à janvier 2022 – voire négative pour les fonds monétaires, très présents notamment dans l’épargne salariale. C’est dorénavant tout l’inverse. Désormais, emprunter à 3 % ou plus devient la norme pour financer un projet immobilier. C’était déjà le cas au mois de février pour les trois quarts des emprunts à vingt-cinq ans et pour la moitié de ceux à vingt ans, selon l’Observatoire Crédit Logement CSA. « Le bon côté des choses, pour l’épargnant, c’est que les placements à court terme rémunèrent bien, même si, en tenant compte de l’inflation qui devrait atteindre ­environ 5,5 % cette année, leur rendement réel s’avère négatif », note Nicolas Decaudain, président de Prosper Conseil.

« Il y a deux ans, la situation était beaucoup plus simple mais plus embarrassante : vous n’aviez pas d’autre choix que de privilégier le fonds en euros des contrats d’assurance-vie, dont les performances bénéficiaient d’anciennes obligations rapportant davantage, se remémore Jean-Olivier Ousset, dirigeant et fondateur du Centre du patrimoi...


Lire la suite sur LeJDD