Clôture précédente | 13,41 |
Ouverture | 13,38 |
Offre | 13,27 x 250000 |
Vente | 13,40 x 250000 |
Var. jour | 13,25 - 13,40 |
Sur 52 semaines | 13,10 - 16,60 |
Volume | |
Volume moyen | 4 501 |
Cap. boursière | 32,506B |
Bêta (mensuel sur 5 ans) | 0,91 |
Rapport P/E (sur 12 mois) | 15,40 |
BPA (sur 12 mois) | 0,87 |
Date de bénéfices | 02 août 2024 |
Dividende et rendement à terme | 1,43 (10,66 %) |
Date ex-dividende | 02 mai 2024 |
Objectif sur 1 an | S.O. |
La Bourse de Paris a dévissé de 6,42% en juin, sa pire performance depuis juin 2022, mise à mal par la dissolution de l'Assemblée nationale et l'incertitude entourant la prochaine législature française.Vendredi, comme depuis l'annonce de la dissolution de l'Assemblée le 9 juin, les investisseurs ont surtout eu envie de limiter leur exposition aux placements qu'ils perçoivent comme les plus risqués, qu'il s'agisse des actions ou de la dette française, a expliqué Marine Mazet, analyste obligataire
Engie a chuté de façon verticale à la Bourse de Paris cette semaine, après les élections européennes (avec une avancée des partis extrémistes, dont une percée du Rassemblement national) et la dissolution de l’Assemblée nationale. Stop ou encore ?
La Bourse de Paris a rebondi de 0,97% mercredi, se réjouissant du ralentissement de l'inflation aux Etats-Unis et de ses implications positives pour l'évolution des taux d'intérêt. Principal événement de la séance, la publication de l'indice IPC d'inflation aux Etats-Unis a rassuré les investisseurs.