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Verbalisé à tort pendant le confinement, le compositeur d’« Astérix » relaxé

Deux policiers à Paris, le 18 mars 2020.  
Deux policiers à Paris, le 18 mars 2020.

« C?était complètement ubuesque. » Le compositeur Philippe Chany a été relaxé mardi 7 décembre par le tribunal de police au terme d?une aventure judiciaire improbable qui aura duré plus d?un an et demi. Tout a commencé le 18 mars 2020, au lendemain du premier jour du premier confinement. Ce jour-là, le compositeur, entre autres, de la musique d?Astérix et Obélix : mission Cléopâtre ou de La Cité de la peur décide de se dégourdir les jambes dans la cour de son immeuble, situé dans le 13e arrondissement de Paris.

Accompagné de son fils, Philippe Chany s?approche alors du portail de la cour, et observe un moment l?étrange calme des rues parisiennes désertes. « On nous avait annoncé, la veille, que tout s?arrêtait. Alors on avait ouvert le portail pour observer ce calme, presque irréel, dans cette ville fantôme. Paris était comme suspendu », raconte-t-il au Parisien.

Une policière un brin tatillonne

C?est alors que passe une patrouille de police. « Une policière s?est dirigée d?un coup vers moi, en m?intimant l?ordre de rentrer chez moi. Je lui ai répondu que, justement, j?étais chez moi ». Peine perdue : la policière insiste, le ton monte. De guerre lasse, Philippe Chany et son fils finissent par fermer leur portail « avec un brin d?énervement ». Fin de l?histoire ? Plutôt le début.

Huit mois plus tard, raconte le compositeur au Parisien, une contravention surprise arrive à son domicile. La policière n?a même pas pris la peine de lui signifier sa verbalisation [...] Lire la suite