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Twitter aurait accepté de payer une fortune au lanceur d'alerte qui accuse le réseau de mensonges

tashatuvango/Adobe Stock

Nouveau rebondissement dans l'affaire qui oppose Twitter à Elon Musk. Peiter Zatko, l'ancien chef de la sécurité de la plateforme, qui a fait récemment parler de lui pour avoir accusé la plateforme de mensonges et de défaillances, aurait reçu une coquette somme de son ancien employeur, rapporte The Wall Street Journal, jeudi 8 septembre. Fin août, nous apprenions que l'ingénieur informatique accusait son ancien employeur, dans un long document envoyé aux autorités américaines, d'avoir dissimulé des vulnérabilités dans son système de protection et menti sur sa lutte contre les faux comptes. C'est justement cette raison qu’Elon Musk a invoquée pour se dégager de son offre d'achat du réseau, allégations vivement réfutées par le réseau de microblogging.

Selon nos confrères américains, celui qui se présente comme un lanceur d'alerte aurait reçu près de 7 millions de dollars en vertu d'un contrat conclu au mois de juin, qui a mis fin à un désaccord entre l'ancien salarié et son employeur au sujet de ses indemnités de départ. Licencié au mois de janvier, ce dernier avait laissé derrière lui des options d'achat d'actions et d'autres sommes. Toujours selon nos confrères, l'informaticien s'engageait, s'il acceptait cette somme, à ne pas dénigrer l'entreprise ou parler publiquement de ses années chez Twitter, avec deux exceptions : une audition devant les parlementaires américains ou une plainte déposée pour dénonciation.

Quelques jours après cet accord, l'ancien employé a initié une telle (...)

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