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Le triple échec de l’État pour le logement, ou l’obligation de changer de méthode de gouvernement

Les appréciations sont étonnamment amènes. Les voix qui s’expriment sur le bilan de la politique du logement depuis cinq ans sont policées et civiles. Pourtant, il faut constater trois échecs patents. Il importe de les identifier et d’en faire une étiologie sans complaisance.

Le premier échec tient à la contre-performance de la construction résidentielle. On a plongé avec obstination d’année en année vers un niveau d’étiage aujourd’hui à 350.000 mises en chantier sur l’exercice 2021, 2022 s’annonçant en retrait par rapport à ce chiffre ! Des maires de moins en moins enclins à autoriser des constructions, pris entre une situation économique et fiscale dégradée et des oukases de non-artificialisation des sols pour lesquels le mode d’emploi fait défaut.

Le deuxième échec est celui de la mobilisation du parc existant non utilisé. Même si l’on est loin des quelque 3 millions de logements vacants dénombrés – nombre d’entre eux sont en attente d’occupation entre deux locataires ou propriétaires —, le potentiel est considérable. La vacance technique des biens à remettre en état est un cancer qui n’a pas été traité. Les grands programmes tels Action Cœur de ville ou Petites villes de France ne sont pas parvenus à convaincre propriétaires et investisseurs potentiels à améliorer le patrimoine de ces communes. Le nouvel aménagement du territoire, en rendant attractives aux ménages français des communes délaissées, voire en déprise, corrige l’insuffisante efficacité des actions pourtant volontaristes (...)

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