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Un tiers des salariés exclus du télétravail pourraient démissionner dans les six prochains mois

© FOURMY/SIPA

En France, plus d’un tiers des « travailleurs de terrain », ces salariés qui doivent être physiquement présents pour exécuter leurs tâches, pourraient démissionner dans les six prochains mois. Ce taux grimpe à 54 % pour la génération Z (née entre 1997 et 2010). Le secteur de la distribution est le plus à risque avec 42 % d’intentions de départ.

Lire aussi - Télétravail : pourquoi ça coince encore dans beaucoup d'entreprises

Ces exclus du télétravail (coiffeurs, ambulanciers, caissières, maçons…) représentent 75 à 80 % de la masse salariale dans les sept pays analysés par le Boston Consulting Group. En France, 354 700 emplois étaient vacants au premier trimestre 2022 selon la Dares. Les employeurs qui intègrent mieux les besoins de leurs collaborateurs ont huit fois plus de chances de les retenir au moins deux ans.


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