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The Body Shop : les raisons de la descente aux enfers de l’enseigne de cosmétique éthique

MAGALI COHEN/Hans Lucas/AFP

Burton of London, Habitat, Gap, Kookaï… Le commerce fait les frais de la crise du pouvoir d’achat avec des Français qui arbitrent de plus en plus leurs dépenses. Si la mode et l’ameublement en ont été les premières victimes, avec des fermetures à la pelle, c’est désormais au tour de The Body Shop, l’enseigne de cosmétique britannique, née en 1976, d’être dans la tourmente. Son avenir ne tient plus qu’à un fil.

Au Royaume-Uni, l’entreprise a annoncé en février son dépôt de bilan, conduisant à la fermeture de près de 100 magasins et à la suppression de 270 postes. La filiale française, qui compte 73 magasins, dont sept franchisés, pour 300 salariés, n’est pas épargnée. Rachetée par le fonds d’investissement allemand Aurelius en novembre 2023, elle a été placée en redressement judiciaire début avril par le tribunal de commerce de Paris. Le 4 juin, deux repreneurs avaient manifesté leur intérêt, dont Horizon Pharma, distributeur de produits pharmaceutiques et parapharmaceutiques, avant de se retirer du deal. Il ne reste donc plus que la société Berger International, spécialisée dans les parfums de maisons, sur les rangs. Sa proposition ? La reprise de 30 salariés et de 12 boutiques, qui seront transformées pour ses marques My Jolie Candle et Maison Berger Paris, le tout pour un montant de 250 000 euros. Pas convaincu, le Comité social et économique (CSE) de The Body Shop France a émis un avis défavorable, jugeant cette offre de reprise trop partielle sur le plan social et le montant (...)

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