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Test de Tinykin : douceur et émerveillement

Son annonce avait fait mouche grâce à un style visuel ravageur et des comparaisons plutôt flatteuses à Mario et Pikmin : Tinykin, le nouveau jeu du studio Splashteam est là. Seulement, ce n’est pas qu’une superbe direction artistique, c’est aussi un concentré de douceur et d’émerveillement.

Les jeux de plateforme et moi, ça n’a jamais été une folle histoire d’amour. Déjà parce que je ne suis jamais vraiment tombé dedans étant petit, mais surtout parce que j’ai découvert au fil du temps des activités bien plus épanouissantes, comme nettoyer mes pièces de monnaie au coton-tige ou compter le nombre de petits trous dans une feuille d’essuie-tout. En dehors de quelques rares exceptions, c’est un genre que je ne portais pas spécialement dans mon cœur. Alors quand on parle d’un platformer en 3D, c’est généralement même pas la peine d’essayer : il y a toujours un moment où la caméra se coince derrière un élément de décor, où la perspective fait atterrir mon personnage trois mètres plus loin que prévu et où, fondamentalement, je me lassais d’escalader des plateformes pendant deux heures pour le simple plaisir de la grimpette.

Puis j’ai découvert des jeux comme (l’incroyable) Psychonauts 2 en 2021 et le tout récent Tinykin du studio Splashteam. Les deux ont réalisé l’impossible : ils m’ont fait aimer les platformers. Et m’ont rappelé que j’étais peut-être un peu de mauvaise foi.

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