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Le télescope spatial James Webb nous plonge dans l’atmosphère de cette exoplanète

L’exoplanète WASP 39-b est la première dont nous pouvons observer plus en détail la composition atmosphérique. Sans surprise, c’est grâce… au télescope James Webb (JWST), qui ne cesse, en quelques mois, de faire avancer l’astronomie.

Le télescope spatial James Webb (JWST), désormais en vadrouille à 1,5 million de kilomètres de la Terre, nous montre le cosmos tel que l’on ne l’a jamais vu. Grâce à la qualité visuelle des photos du JWST, bien entendu, mais aussi (et surtout) grâce aux données que cela fournit sur les objets étudiés. Les exoplanètes font partie de ces objets cosmiques visés par le JWST.

Quelques mois auparavant, le télescope transmettait des données sur l’exoplanète WASP 39-b. L’analyse initiale livrait la première détection directe de CO2 dans l’atmosphère d’une exoplanète. Mais, les scientifiques ne se sont pas arrêtés en si bon chemin dans le traitement de données. Pas moins de cinq études ont été réalisées et diffusées le 18 novembre 2022 (1, 2, 3, 4, 5). Elles seront prochainement publiées dans la revue scientifique Nature.

La composition en CO2 de WASP-96 b. // Source : Nasa
La composition en CO2 de WASP-96 b. // Source : Nasa

Pour la Nasa, le JWST délivre ainsi « l’analyse la plus détaillée à ce jour de l’atmosphère d’une exoplanète ».

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