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Stellantis, Ford et GM face au spectre d’un arrêt de travail de plusieurs mois, ultimatum de l’UAW

Stephane Sby Balmy/Stellantis

Les relations ne sont pas près de s'arranger. Le syndicat de l'automobile et les dirigeants des trois grands constructeurs américains frappés par une grève depuis vendredi 15 septembre affichent des positions encore bien éloignées, laissant présager d'un arrêt de travail de plusieurs semaines voire plusieurs mois.

Les tractations se sont poursuivies lundi, quatrième jour de ce tout premier débrayage de l'histoire du puissant syndicat United Auto Workers (UAW) à viser en même temps les trois grands constructeurs General Motors, Ford et Stellantis (Chrysler, Jeep). Trois usines sont touchées pour le moment, une de chaque entreprise. Mais dans une vidéo publiée lundi soir, le nouveau président du syndicat, Shawn Fain, a adressé un ultimatum. "Si Ford, General Motors, ou Stellantis ne font pas de progrès substantiels vers un accord juste" d'ici vendredi midi, "l'UAW appellera davantage de membres à joindre la grève".

Une résolution rapide reste encore possible, mais peu probable d'après les experts, car le coût pour chaque camp reste faible à ce stade. Plutôt qu'arrêter la totalité de la production d'un seul ou des trois groupes, l'UAW a lancé une grève limitée.

Cette tactique de grève ciblée, si elle "n'applique pas autant de pression sur l'une des entreprises, crée l'incertitude", commente Harry Katz, professeur à l'École des relations industrielles et du travail de l'université Cornell, estimant qu'elle pourrait durer six à huit semaines, si ce n'est davantage. Les usines visées (...)

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