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Le Stade de France aux mains d'un investisseur étranger ? La ministre des Sports ne s'y oppose pas à priori

James Williamson - AMA

La ministre des Sports et des JO, Amélie Oudéa-Castéra, a affirmé mardi 14 mars au Sénat qu'il n'y avait "pas de raison d'écarter a priori" un investisseur étranger pour le Stade de France qui cherche soit un nouveau propriétaire ou un nouveau concessionnaire à compter de l'été 2025. L'État a en effet lancé la semaine dernière deux procédures en parallèle : soit une vente, soit une concession car l'actuelle concession se termine en juillet 2025. Le PSG, club détenu par des actionnaires qataris (QSI), a affirmé qu'il allait candidater au rachat.

Interrogé par le sénateur centriste Laurent Lafon sur le fait de savoir si l'État français, propriétaire du stade, pourrait vendre cet "emblème sportif" à "une structure appartenant à un État étranger", Amélie Oudéa-Castéra ne l'a pas exclu. S'il "devait y en avoir un qui réponde aux conditions protectrices, qui dans le cadre d'une cession seraient de toute façon fixées par la loi, ou si cet investisseur étranger devait participer à un groupement d'opérateurs, il n'y a pas de raison de l'écarter à priori et par principe", a-t-elle déclaré lors de la séance de questions au gouvernement au Sénat. Elle a redit que l'Etat cherchait "le meilleur projet de long terme" en gardant "la vocation sportive du stade" et en "préservant les intérêts économiques et financiers de l'Etat".

Interrogée aussi sur le rôle des Fédérations de football et de rugby, elle a répondu que celles-ci étaient "libres de candidater, libres de s'associer à un candidat, libres (...)

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