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Sclérose en plaques : le cri du cœur de Dominique Farrugia

Atteint d’une sclérose en plaques, le réalisateur témoigne des difficultés à vivre en société avec un handicap.

Comme 100 000 personnes en France, Dominique Farrugia est atteint d’une sclérose en plaques, une maladie auto-immune qui affecte le système nerveux central. « On est tous atteints de fatigue chronique. On peut avoir des douleurs plus ou moins fortes. On peut avoir du mal à voir, du mal à marcher, du mal à voir et marcher, mais ça touche tout cette saloperie », explique-t-il dans un témoignage émouvant à Brut.

Lire aussi >> Quand la mode inclut le handicap

« Je demande juste une normalisation de mon trajet »

Le réalisateur, qui a publié début octobre « Elle ne m’a jamais quitté » (ed. Robert Laffont), un livre dans lequel il raconte son combat contre la maladie, milite pour plus d’inclusivité dans la ville. « Je demande juste une normalisation de mon trajet », affirme-t-il. Il regrette le manque d’accessibilité des lieux publics et espaces communs pour les personnes à mobilité réduite. « Ce n’est rien d’autre que moins de pavés, des pentes lisses pour descendre. Aujourd’hui on manque de ça, on manque de pouvoir se déplacer et d’aller où on veut, c’est tout. Je m’en fous, de la charité. Ce que je veux, c’est qu’on en fasse autant pour moi qu’on en fait pour les autres. »

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Pour illustrer son propos, Dominique Farrugia raconte l’expérience qu’il a vécue un jour en sortant d’un avion, alors qu’il réclamait son fauteuil roulant pour pouvoir partir récupérer ses bagages. « On commençait à faire le ménage...

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