Publicité
La bourse ferme dans 3 h 53 min
  • CAC 40

    8 149,22
    +73,54 (+0,91 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    5 042,12
    +26,02 (+0,52 %)
     
  • Dow Jones

    38 884,26
    +31,99 (+0,08 %)
     
  • EUR/USD

    1,0749
    -0,0009 (-0,09 %)
     
  • Gold future

    2 324,20
    0,00 (0,00 %)
     
  • Bitcoin EUR

    57 903,97
    -1 680,49 (-2,82 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 320,89
    +26,21 (+2,02 %)
     
  • Pétrole WTI

    77,45
    -0,93 (-1,19 %)
     
  • DAX

    18 501,09
    +71,04 (+0,39 %)
     
  • FTSE 100

    8 340,04
    +26,37 (+0,32 %)
     
  • Nasdaq

    16 332,56
    -16,69 (-0,10 %)
     
  • S&P 500

    5 187,70
    +6,96 (+0,13 %)
     
  • Nikkei 225

    38 202,37
    -632,73 (-1,63 %)
     
  • HANG SENG

    18 313,86
    -165,51 (-0,90 %)
     
  • GBP/USD

    1,2490
    -0,0020 (-0,16 %)
     

Schiappa change les visages de la France

Ce jeudi 4 mars, Marlène Schiappa inaugurera une exposition de 109 Mariannes issues de la diversité sur le parvis du Panthéon.

La ministre déléguée à la Citoyenneté veut une Marianne qui nous ressemble. La tradition se perpétue depuis la IIIe République : les bustes prennent le visage des Françaises connues, de Brigitte Bardot à Michèle Morgan, de Mireille Mathieu à Laetitia Casta… En 2021, le ministère de l’Intérieur choisit de mettre à l’honneur le sang neuf de la République dans le cadre d’une exposition au Panthéon (jusqu’au 15 mars) visant à promouvoir la diversité des citoyennes. Un comité composé d’Elisabeth Badinter, du dessinateur Xavier Gorce, de la journaliste Sonia Mabrouk et de l’actrice Rachel Khan a sélectionné 109 Mariannes.

Y figurent, pêle-mêle, Amandine Petit (Miss France 2021) et sa dauphine Miss Provence April Benayoum, l’élue de Meaux Saly Diop, l’infectiologue Karine Lacombe, la première femme rabbin Delphine Horvilleur, Latifa Ibn Ziaten (mère du premier militaire assassiné à Toulouse par Mohammed Merah), des féministes, des policières et des femmes naturalisées ou en première ligne pendant la crise du Covid, qu’elles soient soignantes ou femmes de ménage.


Retrouvez cet article sur Paris Match