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Crèches privées : après le scandale, la réforme du secteur de la petite enfance sur les rails ?

Illustration Capital

L’enchaînement fait un peu froid dans le dos. Le 11 avril dernier, un rapport de l’Inspection générale des affaires sociales (Igas), lancé suite au décès d’un bébé de 11 mois en juin 2022 dans une crèche privée à Lyon, alerte sur la qualité dégradée de certains établissements accueillant de jeunes enfants, pouvant aller jusqu'à la maltraitance. Un constat renforcé, quelques mois plus tard, en septembre, par la publication simultanée de deux ouvrages dénonçant les pratiques des crèches privées. Babyzness (Editions Robert Laffont) et Le prix du berceau (Editions du Seuil) mettent en lumière le fonctionnement d’un secteur où la finance peut parfois passer avant le bien-être des enfants. Comme souvent lorsque ce type de scandale éclate, les politiques ne tardent pas à réagir et à promettre de mettre fin à de telles pratiques.

Peu de temps après ces révélations, la délégation aux droits des enfants de l’Assemblée nationale lance, le 26 septembre, une mission flash portant sur les perspectives d’évolution de la prise en charge des enfants dans les crèches. Le sujet dépasse la question des dérives du secteur privé. Les deux députées, Michèle Peyron (Renaissance) et Isabelle Santiago (Socialistes), qui ont présenté leurs conclusions mercredi 8 novembre, ont établi une liste de 54 préconisations, appelant à «construire une politique d’accueil collectif de la petite enfance centrée autour des besoins fondamentaux de l’enfant uniquement, à l’exclusion, donc, des logiques financières».

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